
Titre Original
Ethan of Athos, 1986Genre

Evaluation

Du même auteur
- Un clone encombrant (T5 La Saga Vorkosigan)
- Les Frontières de l’infini (T6 La Saga Vorkosigan)
- Cordelia Vorkosigan (T1 La Saga Vorkosigan)
- Cetaganda (T10 La Saga Vorkosigan)
- Komarr (T12 La Saga Vorkosigan)
- Barrayar (T8 La Saga Vorkosigan)
- Opération Cay (T4 La Saga Vorkosigan)
- Memory (T11 La Saga Vorkosigan)
- La Danse du Miroir (T9 La Saga Vorkosigan)
- Miles Vorkosigan (T7 La Saga Vorkosigan)
- L’apprentissage du guerrier (T2 La Saga Vorkosigan)
- Ekaterin (T13 La Saga Vorkosigan)
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Ethan d’Athos (T3 La Saga Vorkosigan)
MC_MASTER BUJOLD Lois
L’avis de Jean-Marc Suzzoni :
La planète Athos est une planète sans femmes… Ethan Urquhart, directeur d’un Centre de Reproduction, y est un médecin "accoucheur", faisant naître les enfants à partir des fameux réplicateurs utérins. Or, les souches de cellules ovariennes, apportées par les Pères Fondateurs, sont à bout de potentiel. Il faut acheter de nouvelles souches à l’extérieur du système. Malheureusement, l’envoi de la firme Bharaputra de l’ensemble Jackson se révèle être un colis de déchets biologiques. Le Dr Urquhart est expédié sur le champs vers l’extérieur pour acheter de nouvelles souches et occasionnellement pour comprendre ce qui s’est passé. Sur la station orbitale Kline, il va découvrir l’existence des femmes (l’une des premières qu’il rencontrera étant la superbe Elli Queen des Mercenaires Dendarii, en permission sur son monde artificiel natal…) et se faire entraîner dans un complot incompréhensible.
C’est sans aucun doute le plus léger des trois premiers romans de la saga. L’idée de base était bonne : un choc culturel entre deux individus que tout oppose. Mais en dépit du thème "bio-eugénique", de l’apparition des Cétagandans pour la première fois, et de quelques "private jokes" destinées à un public américain (comme le fait que les Athosiens pères se laissent pousser la barbe…), ce texte est plutôt un petit roman policier ou d’espionnage dans une station orbitale.
Il n’est pas mauvais… Loin de là. Simplement, je trouve que l’auteur n’a pas assez creusé le thème principal, sans doute par manque de métier…