Titre Original
The magic labyrinth, 1980Traduction de Charles CANET
Genre
Science-fictionEvaluation
Note 2/5
Du même auteur
- Les Amants étrangers
- Le monde du Fleuve (T1 Le Cycle du Fleuve)
- Le Noir Dessein (T3 Le Cycle du Fleuve)
- Gare à la bête (Un exorcisme, rituel deux)
- La Machine pour parler avec l’Au-delà (Un exorcisme, rituel trois)
- Le bout du Fleuve (Le Cycle du Fleuve)
- La résurrection du docteur Faustroll (Le Cycle du Fleuve)
- Le Faiseur d’Univers (T1 : La Saga des Hommes-Dieux)
- Comme une bête (Un exorcisme, rituel un)
- Les Dieux du Fleuve (T5 : Le Cycle du Fleuve)
- Le bateau fabuleux (T2 Le Cycle du Fleuve) et la nouvelle "Ainsi meurt toute chair"
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Le labyrinthe magique (T4 : Le Cycle du Fleuve)
FARMER Philip José
Quatrième de couverture :
"Avec ce livre, s’achève la série du Fleuve de l’éternité. Tous les fils épars y sont réunis en un noeud gordien à l’épreuve de l’épée, tous les mystères humains percés ; le terme est atteint des millions de kilomètres que compte le Fleuve et des nombreuses années d’enquête et de la Quête." Philip José Farmer.
Tous les mystères du Fleuve sont, ici, dévoilés. Pourquoi les Éthiques ont-ils ressuscité l’humanité ? Et comment s’y sont-ils pris ? Pourquoi y a-t-il eu entre eux des dissensions ? Quels étaient les mystérieux comploteurs cosmiques ?
En fait, Philip José Farmer n’a pu se résoudre à délaisser sa création.
Dans un cinquième volume, qui va au-delà du labyrinthe magique, il révèle les secrets des Dieux du Fleuve.
L’avis de Philémont :
Suite directe du Noir dessein, Le labyrinthe magique réunit enfin, mais de manière tragique, Richard Burton et Samuel Clemens, ce qui n’empêche pas la longue quête des sources du Fleuve de se poursuivre.
Comme cela était à craindre, cette quête est empreinte de longueurs. D’une part à cause des longs passages rétrospectifs sur la vie terrienne des personnages, d’autre part à cause des scènes de combats assez difficiles à suivre, et malgré tout sans grandes suprises, en dépit du décès prématuré de personnages centraux.
Même le dénouement final n’a pas la force que l’on pouvait espérer en entamant ce cycle. Philip José Farmer nous donne pourtant des réponses au pourquoi et au comment de l’existence du Fleuve, mais elles sont noyées dans la lenteur du rythme narratif et achevées par une dernière phrase en queue de poisson qui laisse augurer que, tout compte fait, le cycle n’est toujours pas achevé.