Titre Original
Harry Potter Harry Potter and the Prisoner of Azkaban, 1999Traduction de Jean-François MENARD, Illustration de Jean-Claude GOTTING
Édité par Gallimard en 1999 (360 pages), puis chez Folio junior en 2000 (n° 1006, 476 pages)
Locus Roman de fantasy 2000
Bram Stoker Roman pour la jeunesse 2000
Genre
FantasyEvaluation
Note 4/5
Du même auteur
- Harry Potter et les Reliques de la Mort T7
- Harry Potter et l’ordre du Phœnix T5
- Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé T6
- Harry Potter et la Coupe de Feu T4
- Harry Potter - La série Complète
- Harry Potter à l’école des sorciers T1
- Harry Potter et la chambre des secrets T2
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Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban T3
ROWLING Joanne K.
Quatrième de couverture : (Édition Folio Junior)
Sirius Black, le dangereux criminel qui s’est échappé de la forteresse d’Azkaban, recherche Harry Potter. C’est donc sous bonne garde que l’apprenti sorcier fait sa troisième rentrée. Au programme : des cours de divination, la fabrication d’une potion de ratatinage, le dressage des hippogriffes… Mais Harry est-il vraiment à l’abris du danger qui le menace ? Un livre époustouflant qui vous emportera dans un tourbillon de surprises et d’émotion.
« On rit toujours autant, on frissonne beaucoup plus, on pleure parfois… un bonheur absolu ! » (Je Bouquine)
« A ce niveau-là, ce n’est plus un succès d’édition, mais un envoûtement universel. » (Libération)
L’avis de Philémont
Extrait :
1- Sa plume s’arrêta au début d’un paragraphe qui semblait lui convenir. Harry remonta sur son nez ses lunettes rondes, approcha sa lampe torche du livre et lut ce qui était écrit :
Au Moyen Age, les personnes dépourvues de pouvoirs magiques (appelées communément "Moldus") ressentaient une terreur particulière à l’égard de la sorcellerie, mais étaient souvent incapables de reconnaître ceux qui la pratiquaient vraiment. Lorsque, par extraordinaire, un sorcier ou une sorcière doté de réels pouvoirs magiques était capturé, sa condamnation au bûcher n’avait aucun effet. Le condamné se contentait de jeter un simple sortilège de Gèle-Flamme, puis faisait semblant de se tordre de douleur dans l’apparente fournaise alors qu’en réalité, il n’éprouvait qu’une agréable sensation de chatouillis. Gwendoline la Fantasque, par exemple, était toujours ravie de se faire brûler vive, à tel point qu’elle s’arrangea pour être capturée quarante-sept fois sous divers déguisements.