Titre Original
Genre
FantasyEvaluation
Note 3/5
Du même auteur
- Le huitième sortilège (T2 Les Annales du Disque-Monde)
- Le Faucheur (T11 Les Annales du Disque-Monde)
- Les tribulations d’un Mage en Aurient (T17 Les Annales du Disque-Monde)
- Pyramides (T7 Les Annales du Disque-monde)
- Sourcellerie (T5 Les Annales du Disque-Monde)
- La Huitième Couleur (Tome 1 Les Annales du Disque monde)
- Mortimer (T4 Les Annales du Disque-Monde)
- Au Guet ! (T8 Les Annales du Disque-Monde)
- La face obscure du soleil
- De bons présages - Terry Pratchett & Neil Gaiman
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Le Peuple du Tapis
PRATCHETT Terry
Quatrième de couverture :
Sur tout le Tapis règne la paix de l’empire Dumii. Aux marges de la civilisation, la tribu des Munrungues coule sous les poils une existence paisible.
Mais, un jour, un terrible cataclysme frappe à proximité du village m Un voyage qui les conduira à la découverte des merveilles de leur monde, et qui changera pour toujours l’existence de tous les Fils de la poussière.
Avant l’hilarante trilogie des Gnomes, Terry Pratchett explorait déjà, à sa savoureuse façon, l’infiniment petit en peuplant un simple tapis d’une profusion de monstres terribles et de personnages cocasses. A lire absolument (à la loupe) !
L’avis de Cyrallen :
Partant d’une bonne idée, on a du mal à trouver autant d’humour dans les aventures des peuples du tapis que dans la série des Annales du Disque-Monde. Peut-être question d’habitude ;) mais cela s’explique peut-être aussi par le fait qu’il s’agit de l’un des premiers livres de Terry Pratchett. Un bon point : il est court, et donc vous ne risquez pas grand chose à l’essayer ;-)
Extraits :
1- Voilà Bouffu, dit-il en présentant à Snibril un énorme gaillard rougeaud, manchot, avec une cicatrice en travers du nez et un bandeau sur l’œil. Il était dans l’armée avec moi.
- Et il était sergent lui aussi ?
- Exact, répondit Bouffu avec un sourire.
Même sa cicatrice semblait sourire. Quand il contourna la table, Snibril constata qu’il avait une jambe de bois.
J’ai vu le feu au cours de dizaines de campagnes, expliqua Bouffu en suivant son regard. Et puis un jours, Caréus, ici présent, m’a ramassé et m’a transporté à l’arrière des lignes, pour me mettre en sécurité et m’a dit : Bouffu, mon p’tit gars, t’aurais intérêt à prendre ta retraite tant qu’il reste encore de toi une quantité suffisante pour être renvoyée dans ses foyers. Content de se revoir, mon vieux.
2- Soit dit en passant, la cité d’Usure fait à peu près cette taille →.