Titre Original
A Man Betrayed, 1996Traduction de Guillaume FOURNIER ; Illustration de Aleksi BRICLOT
Calmann-Lévy, collection Fantasy, avril 2006, 528 pages
Genre
FantasyEvaluation
Note 4/5
Du même auteur
- L’enfant de la prophétie (T1 : Le Livre des Mots)
- L’épée des ombres T1 : Le piège de glace blanche
- L’épée des ombres T2 : La piste des glaces
- L’épée des ombres T2 : La forteresse de glace grise
- La Ronce d’or T2 : La peinture de sang
- L’épée des ombres T1 : La caverne de glace noire
- L’épée des ombres T3 : L’épée dans la glace rouge
- La Ronce d’or T1 : Les motifs de l’ombre
- Frères d’ombre et de lumière (T3 Le Livre des Mots)
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Le Temps des trahisons (T2 : Le Livre des Mots)
JONES Julie V.
Quatrième de couverture :
Jack, héros de L’Enfant de la Prophétie, a dû s’enfuir du château dans lequel il oeuvrait comme marmiton en raison de la découverte de ses pouvoirs magiques latents, qui attisent la convoitise du maléfique chancelier Baralis.
Croyant son amie Melliandra tombée durant leur fuite sous les coups des guerriers Halcus, ennemis séculaires des Quatre Royaumes, le jeune homme va devoir mener maints combats, déjouer mille trahisons pour accomplir une vengeance qui l’amènera à affronter sa propre destinée…
Deuxième opus d’un cycle de high fantasy comparable à L’Arcane des épées de Tad Williams ou encore à La Belgariade de David Eddings, Le Temps des trahisons propose toujours plus de suspense, de complots, d’humour aussi, dans un récit initiatique aux personnages parfaitement dessinés qui a rencontré un immense succès public aux États-unis, et qui verra sa conclusion publiée dès septembre 2006.
L’avis de Philémont :
Le temps des trahisons est le deuxième tome du Livre des Mots de Julie V. Jones. Suite directe de L’enfant de la prophétie, la bonne impression générale laissée par ce premier opus se confirme ici.
On se surprend même à oublier totalement le manque d’originalité de l’intrigue et à se passionner pour les multiples intrigues de cours dont est composé ce volume. On doit cela à la qualité de l’écriture de l’auteur déjà évoquée dans le cadre du premier tome du cycle. On le doit aussi à la structure du récit, composée de petites séquences consacrées à un personnage particulier, qui donne un rythme soutenu à l’ensemble, même lorsque l’action n’est pas spécialement au rendez-vous.
En bref, voilà un deuxième tome encore supérieur au premier volume, ce qui peut nous faire espérer le meilleur pour le dernier à paraître.